Le Cineclub/The Film Society’s exciting Fall lineup!

Centre Des Arts CROWLEY Arts Centre
5325 ave. Crowley (angle Décarie) métro Vendôme

Portes / doors: 7 p.m.     Film: 7:30 p.m.
Admission: 8$, 6$ (étudiants/students & 65+)

www.crowleyartscentre.org
www.cineclubfilmsociety.com

Ayant jeté l’ancre au centre, cet organisme dédié à l’art cinématographique depuis 1992 est fier de présenter une série de projections ouvertes à tous d’œuvres classiques et importantes. Nous invitons les cinéphiles à venir profiter de nos séances du dimanche sur notre grand mix levitra and cialis écran. (Tous les films seront précédés de courts métrages. Café, thé et eau offert gratuitement!)

Now in residence at the Crowley Arts Centre, this cultural group dedicated to the art of cinema http://www.fingermedia.tw/?p=1322813 since 1992 is proud to present a series of Sunday night screenings of classic and important works. Open to all, we invite cinéphiles to come and enjoy our big screen offerings. (All features are preceded by rare and exciting short films. With complementary coffee, tea and water!)

For details on how to get there, please visit: www.cineclubfilmsociety.com ou www.crowleyartscentre.org

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11 septembre –  NIGHT OF THE HUNTER (1955, é.u.,  93  min.) Charles Laughton.

Un prêcheur tueur en série terrorise deux jeunes enfants en cavale. Un œuvre visuellement stupéfiant et buy viagra fed ex innovateur.  Images créé par Stanley Cortez (MAGNIFICENT AMBERSONS de Orson Welles)

Plus encore peut être que Citizen Kane, The Night of The Hunter est un modèle de mise en scène. Car, c’est bien par le talent immense de son réalisateur, Charles Laughton que le film a pris place au panthéon des chefs-d’œuvre du cinéma. (…)The Night of The cialis levitra viagra compare Hunter est une œuvre unique, magique, indispensable à la beauté visuelle inégalée. Avec elle, le mot chef-d’œuvre tant galvaudé reprend toute sa signification.” – ÉCRANLARGE.COM

September 11 –  NIGHT OF THE HUNTER (1955, U.S.,  93  min.) Charles Laughton.

A serial killing preacher terrorizes two young children get viagra without prescription on the run. A visually innovative and stunning masterwork, this is actor Charles Laughton’s sole directorial effort and reveals that his brilliant talent extended to behind the camera as well. His collaboration with cinematographer Stanley Cortez (MAGNIFICENT AMBERSONS by Orson Welles) resulted in a striking cinematic work that will haunt you for weeks.

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25 septembreDOUBLE INDEMNITY (1944, é.u., 107 min.) Billy Wilder.

Adapté d’un roman de James M. Cain par Wilder et Raymond Chandler, DOUBLE INDEMNITY représente le summum du film noir des années 40,  avec un homme avide et moralement faible qui se laissera séduire par une femme froide et calculatrice, tout ceci baigné d’ombres produite par les lumières expressioniste des grandes villes modernes. Phyllis Dietrichson (Barbara Stanwyck) séduit l’agent d’assurances Walter Neff (Fred MacMurray) au point où assassinera son mari pour qu’ils puissent récolter la prime d’assurance-vie.  Le meurtre se passe sans anicroches jusqu’à ce que la passion du couple s’éteigne pour faire place aux soupçons des motifs de l’un et l’autre. Le plan se complique encore plus lorsque le patron de Neff, Barton Keyes (Edward G. Robinson), un brillant enquêteur, reprend l’enquête. Raconté sous forme de flashbacks de la perspective de Neff, le film avance avec une détermination brutale pendant que les personnages sont propulsé vers leur destiné. Les trois acteurs principaux donnent une de leur meilleures performances sous la direction de Wilder, qui, avec finesse et cynisme, fait des trois un match parfait dans une histoire qui ne laisse aucune place au sentimentalisme. Le tout élévé à tout autre niveau par la direction photo de John Seitz, évidemment plus appréciable sur grand écran. Version original anglais. Ce film noir a été classé 29e au top 100 des meilleurs films de tous les temps selon le American Film Institute.

BONUS: La chanteuse Melissa Furlotte performera ‘live’ une série de chansons de ‘films noirs’. (Coordinatrice, Jongleur Vocal Arts Performance School)

September 25DOUBLE INDEMNITY (1944, U.S., 107 min.) Billy Wilder.

Adapted from a James M. Cain novel by Wilder and Raymond Chandler, Double Indemnity represents the high-water mark of 1940s film noir urban crime dramas in which a greedy, weak man is seduced and trapped by a cold, evil woman amidst the dark shadows and Expressionist lighting of modern cities. Phyllis Dietrichson (Barbara Stanwyck) seduces insurance agent Walter Neff (Fred MacMurray) into murdering her husband to collect his accident policy. The murder goes as planned, but after the couple’s passion cools, each becomes suspicious of the other’s motives. The plan is further complicated when Neff’s boss Barton Keyes (Edward G. Robinson), a brilliant insurance investigator, takes over the investigation. Told in flashbacks from Neff’s perspective, the film moves with ruthless determinism as each character meets what seems to be a preordained fate. The three seasoned leads give some of their best performances and Wilder’s cynical sensibility finds a perfect match in the story’s unsentimental perspective. All is heightened by John Seitz’s hard-edged cinematography, best appreciated on our theatrical big screen. This “film noir” was rated top 29th film of all time by the American Film Institute.

BONUS: Live singer Melissa Furlotte will perform a short set of “film noir” tunes. (Coordinator, Jongleur Vocal Arts Performance School)

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9 octobre –  SUNRISE (1927, é.u.,  103  min.) F.W. Murnau.

Un fermier marié tombe sous le charme d’une ‘sirène’ urbaine qui le convainc de noyer sa femme. Véritable enchanteur de la lumière, Murnau prouve que le cinéma peut se hisser au niveau de la littérature, et que l’image muette laisse autant jaillir de poésie et de lyrisme qu’une symphonie de Beethoven. Certainement l’un des plus grands films de tous les temps.

Pour votre plaisir, ce classique du cinéma muet est accompagné par un musicien ‘live’.

Pianiste: Simon Sloutsker (Directeur en éducation, Jongleur Vocal Arts Performance School)

October 9–  SUNRISE (1927, U.S.,  103  min.) F.W. Murnau.

A married farmer falls under the spell of an urban siren who convinces him to drown his wife.   Murnau’s first American film has been hailed as “the last high peak of German silent cinema.”  In the 1950s, the French magazine Cahiers du Cinema named “Sunrise” as the “greatest film ever made.”  In various international polls, “Sunrise” features prominently among the best and most significant films ever made.

For your unique pleasure, this silent-era masterpiece will be accompanied by live music.

Pianist: Simon Sloutsker (Educational director, Jongleur Vocal Arts Performance School)

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23 octobre –  UN NUIT AU CINÉPARC :

THE LAND THAT TIME FORGOT (1975, é.u., 90 min.)

+  THE  PEOPLE THAT TIME FORGOT (1977,é.u., 90 min.)

Un programme double d’histoires d’Edgar Rice Burroughs ; explorez un monde où le passé préhistorique rencontre le présent. Au menu, un mélange de: lave en fusion, dinosaures, sous-marins, machines volantes, tribus guerrières et culte fanatique! En plus : bandes-annonces de l’époque et exposition de posters classiques. Popcorn, boissons gazeuses et hot-dogs seront servis pour 1$ durant l’entracte!

October 23 –  A NIGHT AT THE DRIVE-IN :

THE LAND THAT TIME FORGOT (1975, U.S., 90 min.)

THE  PEOPLE THAT TIME FORGOT (1977, U.S., 90 min.)

A double bill of tales by Edgar Rice Burroughs; Explore a land where the prehistoric past and present collide amongst molten lava, dinosaurs, a U-boat, a flying machine, warring tribes and a merciless death cult! Plus: Drive-in trailers and vintage poster display.  Let’s all go to the lobby for popcorn, soft drinks and hotdogs for only $1 at intermission!

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6 novembre –  SINGIN’ IN THE RAIN (1952, é.u.,  103 min.)   Stanley Donen & Gene Kelly.

Cette comédie musicale raconte l’histoire de cinéastes du cinéma muet qui tentent de s’adapter à l’arrivée du son.  D’un bout à l’autre, ce film surprend, et l’on passe un 100 minutes de bonheur intense, accompagné par des interprètes tout simplement merveilleux, talentueux et impliqués. “Singing in the rain”, est sans aucun doute l’une des plus belles comédies musicales de tous les temps, et surtout, c’est une oeuvre qui n’a pas pris une seule ride et qui rivalise encore avec les sorties plus modernes du même genre.

Cette copie Technicolor extrêmement rare vous laissera bouche-bée.  Une expérience unique à ne pas manquer!

November 6 –  SINGIN’ IN THE RAIN (1952, U.S.,  103 min.)   Stanley Donen & Gene Kelly.

Pauline Kael, the late, great film reviewer for the New Yorker magazine, wrote in her review of the film that, “This exuberant satire of Hollywood in the late 20s is probably the most enjoyable of all American movie musicals.”  The American Film Institute’s list of America’s 100 Greatest Movies lists “Singin’ in the Rain” as #10 . . . the highest ranking for any musical.

Offered is a very rare vintage print made in the original Technicolor process that will leave you breathless. A truly unique experience not to be missed!

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20 novembre –  LE SALAIRE DE LA PEUR (WAGES OF FEAR) (1953, é.u.,  145 min.) H.G. Clouzot.

Trois hommes doivent survivre un voyage de plus de 300 miles en terrain dangereux à bord d’un camion contenant des explosifs volatiles.   Ce film démarre très lentement pour nous mettre dans l’ambiance et présenter ses personnages, mais ce n’est que pour mieux partir une fois les camions en route. Malgré son âge, le film propose un suspens terriblement efficace, avec des péripéties inventives des scènes choc. On reste ainsi scotchés devant la dernière heure, la mise en scène de Clouzot et la photographie étant impeccables. Avec, en prime, les prestations excellentes de Montand et Vanel. “Le Salaire de la peur” est donc un classique doublé de l’une des rares réussites dans le genre pour le cinéma français.   Version originale sous-titrée en anglais.

November 20 WAGES OF FEAR (LE SALAIRE DE LA PEUR) (1953, U.S.,  145 min.) H.G. Clouzot.

Three men must travel over 300 miles of rough terrain in a truck carrying volatile explosives.   Although there is a psychological element to Wages of Fear, this is primarily a visceral thriller. It’s aimed more at the pit of the stomach than at the head. To be sure, the film has a smart, savvy script and Clouzot toys with a variety of thematic material, but, in the end, the purpose of Wages of Fear is to keep viewers on the edges of their seats. And the mechanism for this is constantly building tension, not unexpected plot twists.  One of the all-time greatest thrillers.  English subtitled version.

 

 

About the author:

Kier-La Janisse

Kier-La Janisse is a film writer, publisher, producer, acquisitions executive for Severin Films and an Adjunct Associate Professor in the School of Communication and Creative Arts at Deakin University. She is the author of Cockfight: A Fable of Failure (2024), House of Psychotic Women: An Autobiographical Topography of Female Neurosis in Horror and Exploitation Films (2012/2022) and A Violent Professional: The Films of Luciano Rossi (2007) and has been an editor on numerous books including Warped & Faded: Weird Wednesday and the Birth of the American Genre Film Archive (2021) and Satanic Panic: Pop-Cultural Paranoia in the 1980s (2015). She wrote, directed and produced the award-winning documentary Woodlands Dark and Days Bewitched: A History of Folk Horror (2021), and produced the acclaimed blu-ray box sets All the Haunts Be Ours: A Compendium of Folk Horror (2021) and The Sensual World of Black Emanuelle (2023).

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